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Emotions parlons en !


Vous Mesdames devenus maman, vous vous souvenez le post partum, et bah pareil !

J’ai voulu faire mon post sur ce sujet, car non ce n’est pas de la chance, et oui ça a été dur.

Quand vous décidez de vous expatrier, il y a d’abord une sorte d’excitation, ça y est, on saute le pas, on prend LA décision.

Ensuite sincèrement il y a tellement de papiers à remplir, je parle pour moi a New-York, mais mes copines devenus Canadienne confirmeront ! Il y a beaucoup d’administratif, et déjà cette partie va être tellement dense qu’elle va vous faire douter plus d’une fois.

Oui car quand on s’expatrie on doute les amis, et l’entourage peut être bienveillant, mignon, mais souvent il nous fait douter encore plus.

La vie est méga cher, comment vous allez faire pour les enfants, tu es sur, c’est risque tout de même, ton poste à la banque était chouette pourtant.

Voilà voilà florilège.

J’ai la chance de mon côté d’avoir une énorme confiance en moi, et ouai je me la pete, mais ce qui permet à mon entourage le sentiment que je ne vais pas droit dans le mur, et surtout que j’ai muri la chose depuis longtemps.

En gros ils ne pouvaient que m’encourager, il ne leur restait que ça !

Alors nous on a tout fait en même temps, donc papier d’un côté, vente de notre vie française de l’autre.

Mon astrologue a comparé ça avec de l’hyperactivité …. Je confirme, de l’hyperactivité très fatigante.

La première chose à s’avoir sur l’expatriation aux USA et notamment à New-York c’est la joyeuseté du : « tu paie mais rien n’est accepté encore » tu peux juste attendre, prier pour ma part, et attendre encore.

Tu as déjà dépensé $1000 + frais car paiement étranger, et peut être pour qu’on te dise : NON.

Et pendant cette période de flottement, tu dois organiser le voyage, la vente de tous tes biens, et un logement, appelons ça plutôt un point de chute, sur place.


Donc les nuits sont plutôt agitées, on se pose beaucoup de question, surtout pour celui qui suit, qui aimait sa petite vie, mais qu’il t’aime plus (Davy love love cœur cœur sur toi).

Oui sa peut vite basculer si le partenaire n’est pas chaud chaud. C’est bien pour ça que je vous dis de préparer en amont a mort, les USA nous permettent de visiter le payer plusieurs fois, profitez-en, car pour vous c’est un rêve, pour l’autre c’est le saut dans l’inconnu.

Préparez votre corp aussi les gars, je n’ai jamais autant subi d’infection que pendant cette période. Car fatigue stresse ne fait vraiment pas bon ménage.

Bon je ne veux pas vous saper (comme jamais) le moral, il y a aussi des bons moments dans l’expatriation.

Le summum est le jour ou ils acceptent ton visa, non mais là c’est une telle joie, que vous en oubliez toutes les galères.

Exactement quand vous accouche, vous oublie la douleur une fois que vous voyez bebe, pareil.

Bon monsieur vous repasserez, je n’ai pas d’exemple pour vous.


Le choix de la destination doit être pense aussi ainsi, nous avons préférez la cote est pour ses saisons, mais aussi le temps en avion, et le décalage horaire.

On avait adoré Los Angeles, mais 13 heures d’avion, au secours !

Une fois sur place vous n’êtes pas en reste avec vos ascenseurs émotionnels.

Super on est à New-York, bouhh ma famille me manque, j’ai trouvé un job, si maman était là elle m’aiderait avec les petits, on signe le bail pour le bar, avec qui fêter ça.

Voyez l’histoire.

Petit à petit vous vous créer une nouvelle famille, car avec l’expatriation les sentiments sont décuple, tu t’attaches très vite, et tu détache très vite aussi.

Et heureusement si je puis dire, car beaucoup de ta nouvelle famille ne resterons pas à vit aeternam à New-York.

Beaucoup rentrerons, d’autres changeront de coin, avec cette seconde option cela te donnes une super excuse de visiter d’autres états ! hey hey pas folle la guêpe.

Bref tous ces sentiments vont se tapissera, il y aura encore des soubresauts de peine, et de joie, mais en moins extrêmes tout de même.

New-York est une ville intense, qui demande beaucoup d’énergie, d’autres états sont plus cool, a toit de décider ce que tu recherches.

Mai si tu tiens jusque-là c’est que tu as passe le plus gros.

Bon je ne vais pas parler de tous ces événements que tu risques de louper, mariage, grossesse, décès, c’est aussi l’un des inconvénients de l’expatriation, le Covid n’a pas arrangé le schmilblick.

Mais ça reste l’expérience d’une vie, et elle mérite d’être vécu. Alors fonce (et vive le prozac …. Joke).


Then sincerely there are so many papers to fill, I speak for me in New-York, but my friends who became Canadian will confirm! There is a lot of paperwork, and already this part will be so dense that it will make you doubt more than once. Yes, because when you expatriate you doubt your friends, and the people around you can be kind, cute, but often they make you doubt even more. Life is mega expensive, how are you going to do for the children, are you sure, it’s risky all the same, your job at the bank was nice though. That’s it, here’s the list.

I’m lucky enough to have a lot of self-confidence, and yeah, I’m a bit of a show-off, but that gives my friends and family the feeling that I’m not going straight to the wall, and especially that I’ve been thinking about it for a long time. Basically they could only encourage me, that was all they had left! So we did everything at the same time, so paper on one side, selling our French life on the other.

My astrologer compared it with hyperactivity …. I confirm, very tiring hyperactivity. The first thing to have about expatriation in the USA and especially in New-York is the joyfulness of : “you pay but nothing is accepted yet” you can just wait, pray for my part, and wait again. You’ve already spent $1000 + fees because of foreign payment, and maybe to be told: NO. And during this waiting period, you have to organize the trip, the sale of all your belongings, and an accommodation, let’s call it a drop-off point, on the spot.

Prepare your body too guys, I have never suffered as much infection as during this period. Because fatigue and stress do not mix well. Well, I don’t want to undermine your morale, there are also good moments in the expatriation. The ultimate is the day they accept your visa, no but there it is such a joy, that you forget all the troubles. Exactly when you give birth, you forget the pain once you see your baby, same thing. Well sir, you’ll have to come back, I don’t have an example for you.

Little by little you create a new family, because with expatriation the feelings are tenfold, you get attached very quickly, and you detach very quickly too. And fortunately if I may say so, because many of your new family will not stay in New York forever. Many will return, others will move to another area, with this second option it gives you a great excuse to visit other states! hey hey not crazy the wasp. In short, all these feelings will lurk, there will still be jolts of pain, and joy, but less extreme all the same.

New-York is an intense city, which requires a lot of energy, other states are cooler, you have to decide what you want. But if you’ve made it this far, you’ve made it through the worst of it. Well, I’m not going to talk about all the events you might miss, marriage, pregnancy, death, it’s also one of the disadvantages of expatriation, the Covid didn’t help.

But it’s still the experience of a lifetime, and it deserves to be lived. So go for it (and long live the prozac …. Joke).